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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre -6- le 29 Mars 2020 à 14:59— Vous essayez de changer de conversation parce que vous en savez beaucoup plus que vous ne voulez en dire. V otre silence est dès plus éloquent, mon père ! Je sais que j’ai raison, et vous ne pouvez rien changer à ma façon de raisonner à cause du secret de la confession. Je...
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre 12 le 6 Avril 2019 à 12:49Chapitre XII Dans la matinée du surlendemain, Isabelle alla rendre visite à son père. Cette entrevue lui pesait fort. En ses six années, elle n’avait échangé avec lui que de rares lettres insignifiantes. Cette indifférence paternelle, ajouté au souvenir de la scène qui avait...
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre 11 le 5 Avril 2019 à 13:13Ce regard détaillait cette souple silhouette vêtue d’une robe légère parsemée de petites fleurs blanches qui lui allait à ravir. Elle était très belle et son visage, encadré de boucles blondes aux reflets satinés, était d’une grâce et d’une régularité parfaite, ce...
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre 10 le 5 Avril 2019 à 12:55Mais j'en garde des souvenirs qui, jamais, ne s'effaceront pas de ma mémoire. Isabelle avait su capter l’attention de son auditoire par ses connaissances historiques concernant cette fontaine qu’elle aimait tout particulièrement. Leurs impressions ressenties les faisaient s’animer de...
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre 11 le 4 Avril 2019 à 14:35Vous êtes là depuis peu, mais suffisamment longtemps pour nous mettre hors de nous ! Que vous importe que je parle avec ma cousine, puisque la plupart du temps, vous êtes absente du foyer conjugal ! Je suis libre de mes mouvements, comme vous l’êtes des vôtres pratiquement...
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre 11 le 4 Avril 2019 à 13:32— Vous n’avez pas perdu le sens de la répartie à ce que je vois chère amie. Ne seriez-vous pas coupable de quelque chose d’inavouable ? — A votre place, je me tairais car les choses inavouables dont vous êtes coutumière surpassent, et de loin, ce que vous jugez à tort devoir,...
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre 11 le 4 Avril 2019 à 13:19Satisfaite de l’effet qu’elle avait produit sur William et sur sa rivale en les dérangeant sciemment, laissant exprès aller son fils devant elle pour pouvoir les surprendre dans leur petit jeu... à deux. Elle avait fort bien réussi son coup en reconnaissant parfaitement les humeurs de...
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre 11 le 4 Avril 2019 à 12:58Le jeune homme sentait que Isabelle était fort troublée et que leur attirance mutuelle se faisait plus présente. Il décida de s’écarter d’elle poliment, ne pouvant se laisser aller à cette envie de la pendre dans ses bras et de lui voler un baiser que peut-être, elle aussi souhaitait....
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre 11 le 31 Mars 2019 à 19:45Les yeux baissés, Isabelle promenait ses doigts un peu tremblants entre les feuilles de son album. Dans la voix de William se devinait une âpre souffrance qui pénétrait jusque dans son propre cœur. Une sourde douleur qu’elle ne devait pas dévoiler au jeune homme sans trahir les...
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre 11 le 31 Mars 2019 à 19:32— Une nature que j’ai méconnue autrefois, pensa William... La bouche du jeune comte eut une crispation d’amertume. Isabelle reprit l’album d’entre ses mains, et se mit à en tourner nerveusement les pages. Des bouffées de chaleur orageuses entraient dans la vieille salle, soulevant...
Le Mystère De l’Étang-Aux-Ormes : Roman
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Le mystère de l'étang-aux-ormes.
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Le pont Mirabeau
Sous le pont Mirabeau,
Coule la Seine et nos amours.
Faut-il qu’il m’en souvienne,
La joie venait toujours après la peine.Vienne la nuit, sonne l’heure,
Les jours s’en vont... je demeure.Les mains dans les mains,
Restons face à face,
Tandis que sous le pont de nos bras, passent,
Passent des éternels regards...
L’onde si lasse.
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure.L’amour s’en va, Comme cette eau courante...
L’amour s’en va,
Comme la vie est lente,
Et comme l’Espérance est violente.Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont... je demeure.Passent les jours et passent les semaines,
Ni temps passé,
Ni les amours reviennent.
Sous le pont Mirabeau coule la seine.Vienne la nuit sonne l’heure,
Les jours s’en vont... je demeure.Guillaume Apollinaire, 1913
♥ Nocturne de Frédérique Chopin ♥
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♥ Tout un univers poétique ♥
N.GHIS.
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