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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre -2- le 12 Août 2018 à 13:26— Mon grand-père, Yann de Brémont, au cours d’un voyage dans les pays d’orient, avait sauvé la vie du fils d’un maharadja de je ne sais plus quelle dynastie, mais cela importe peu. Pour lui montrer sa reconnaissance, le maharadja reconnaissant, lui donna une de ses filles en mariage....
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre -2- le 12 Août 2018 à 13:23Sa voix, affaiblit par la maladie, conservait quand même ces mêmes intonations sèches qui s’associaient parfaitement, et depuis des générations, à cet air condescendant, hautain et supérieur qu’affichaient les de Brémont avant que son mariage avec le comte Stéphan de Rubens ne fut...
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre -2- le 12 Août 2018 à 12:46Enfin, elle se força à frapper sur une des portières donnant dans la salle où se tenait sa grand-mère. Un battant s’ouvrit, laissant apparaître le doux visage d’Antoinette qui lui sourit, mais ne dit pas un mot en s’effaçant devant la jeune comtesse. La jeune fille lui rendit son...
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre -2- le 12 Août 2018 à 12:41Quand enfin le couple repartait pour Paris, La comtesse Marie-Marguerite ne restait pas inactive et laissait, un peu partout, des traces de son passage, pour bien signifier à la nouvelle venue qu e château-neuf n’ était pas sa propriété, que dans les diverses pièces des deux...
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Par La plume de N. Ghis. dans Chapitre -2- le 12 Août 2018 à 11:34Chapitre II Marie-Marguerite de Brémont, issu d’une très ancienne famille franc-comtoise, devenue comtesse de Rubens, avait une très haute opinion d’elle-même et l’orgueil de sa race. Elle avait, contre son grès, accepté le premier mariage de son fils, mais elle refusait qu'une...
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Par La plume de N. Ghis. dans Présentation le 28 Juillet 2018 à 13:37...versement pareil aux deux premiers, et le dernier versement, pour la quatrième page du livre. A la terminaison du dit bouquin, tout doit être réglé . La suite des événements se passent ainsi : les auteurs reçoivent leurs livres et c'est à eux de se débrouiller pour les écouler de...
Le Mystère De l’Étang-Aux-Ormes : Roman
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Le mystère de l'étang-aux-ormes.
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Le pont Mirabeau
Sous le pont Mirabeau,
Coule la Seine et nos amours.
Faut-il qu’il m’en souvienne,
La joie venait toujours après la peine.Vienne la nuit, sonne l’heure,
Les jours s’en vont... je demeure.Les mains dans les mains,
Restons face à face,
Tandis que sous le pont de nos bras, passent,
Passent des éternels regards...
L’onde si lasse.
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure.L’amour s’en va, Comme cette eau courante...
L’amour s’en va,
Comme la vie est lente,
Et comme l’Espérance est violente.Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont... je demeure.Passent les jours et passent les semaines,
Ni temps passé,
Ni les amours reviennent.
Sous le pont Mirabeau coule la seine.Vienne la nuit sonne l’heure,
Les jours s’en vont... je demeure.Guillaume Apollinaire, 1913
♥ Nocturne de Frédérique Chopin ♥
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Droits protégé SACEM
♥ Tout un univers poétique ♥
N.GHIS.
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