• Le mystère de l'étang-aux-ormes. page -174-

     Le mystère de l'étang-aux-ormes. Page -34-

    Les lèvres brûlantes de William se posèrent irrésistiblement sur celles d'Isabelle, l’empêchant de terminer sa phrase. Il l’avait prise dans ses bras alors qu’elle était prête de défaillir. Ce chaste baiser l'avait bouleverser.

    Il relâcha son étreinte en prenant soin de retenir sa cousine qui vacillait. Jamais la jeune fille n’avait été embrassée ? Elle était troublée, défaillante, et ne comprenait plus le revirement de son cousin.

    — William, pourquoi ? !

    — Pardonnez moi Isabelle ! Mes sentiments ont submergés ma volonté. J’ai deviné ce que vous ressentez à mon égard et je sais très bien qu’il ne peu rien y avoir entre nous à cause de ce simulacre de mariage qu'est le miens. Je vous aime, Isabelle ! C'est très dur de vous voir, de ne pas vous parler librement ! Hélas, je vous sais en danger. Il vous faut partir ! Ludivine peut vous nuire, Isabelle. Elle le peut… il faut vous méfier de sa mère autant que d'elle ! Oh ! Mon tendre amour !

    Les lèvres de William avaient, de nouveau, pris les siennes, les caressant tendrement, amoureusement. Isabelle ne pouvait plus se séparer de celui dont le regard perçant, dans ce clair-obscur, l’hypnotisait. Toute retournée, elle essaya de retrouver ses esprits en le suppliant :

    — William, je… que… faites-vous ? Vous… vous savez bien… que... pour nous… que... que c’est impossible... je vous en supplie... je ne saurais vous résister si... vous-même... vous n'avez pas la force de... combattre cet amour pour nous deux... il ne faut plus nous voir, William !

    — Ma douce ! Je préfère vous voir partir ; mais au fond de moi, je ne le veux pas. Ne plus vous voir serait trop dur et pourtant, il le faut ! Pardonnez-moi pour cet instant d’égarement ! J’ai perdu la tête à votre contact. Cela fait si longtemps ! Vous sentez que ce que nous éprouvons l’un pour l’autre est très fort ! Il est dur de se voir et de ne pas succomber à notre attirance mutuelle ! J’ai tant lutté pour ne plus vous rencontrer autant qu’avant Isabelle… Je jouais même l’indifférent tout en vous regardant souffrir. C’est très dur de vous savoir à Monteuroux et de ne pas vous approcher de peur d’être surprit par Ludivine comme l’autre jour. Ne pas pouvoir vous prendre dans mes bras m’est insupportable ! Depuis que vous êtes revenues d’Angleterre changée en une magnifique jeune femme si belle, si douce, je ne pense qu’à vous. J’aime votre caractère, vos réparties, vos goûts, votre sourire… j’aime tout de vous ! Comment pourrais-je ne plus vous regarder, vous approcher, vous serrer dans mes bras ?

    — Il ne faut plus William. Il y a un gros obstacle que nous ne pouvons franchir… et nous sommes en faute vis à vis de votre femme et de l’église. 

    Les lèvres brûlantes de William se posèrent irrésistiblement sur celles d'Isabelle, l’empêchant de terminer sa phrase. Il l’avait prise dans ses bras alors qu’elle était prête de défaillir. Ce chaste baiser l'avait bouleverser.

    Il relâcha son étreinte en prenant soin de retenir sa cousine qui vacillait. Jamais la jeune fille n’avait été embrassée ? Elle était troublée, défaillante, et ne comprenait plus le revirement de son cousin.

    — William, pourquoi ? !

    — Pardonnez moi Isabelle ! Mes sentiments ont submergés ma volonté. J’ai deviné ce que vous ressentez à mon égard et je sais très bien qu’il ne peu rien y avoir entre nous à cause de ce simulacre de mariage qu'est le miens. Je vous aime, Isabelle ! C'est très dur de vous voir, de ne pas vous parler librement ! Hélas, je vous sais en danger. Il vous faut partir ! Ludivine peut vous nuire, Isabelle. Elle le peut… il faut vous méfier de sa mère autant que d'elle !

    Oh ! Mon tendre amour !

    Les lèvres de William avaient, de nouveau, pris les siennes, les caressant tendrement, amoureusement. Isabelle ne pouvait plus se séparer de celui dont le regard perçant, dans ce clair-obscur, l’hypnotisait. Toute retournée, elle essaya de retrouver ses esprits en le suppliant :

    — William, je… que… faites-vous ? Vous… vous savez bien… que... pour nous… que... que c’est impossible... je vous en supplie... je ne saurais vous résister si... vous-même... vous n'avez pas la force de... combattre cet amour pour nous deux... il ne faut plus nous voir, William !

    174

    sceau copyright  

     

    « Le mystère de l'étang-aux-ormes. Page -60-Le mystère de l'étang-aux-ormes. Page -209- »

    Tags Tags : , , , , , , , , , , , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :