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    Le mystère de l'étang-aux-ormes. Page -25- 

    Mon grand-père, Yann de Brémont, au cours d’un voyage dans les pays d’orient, avait sauvé la vie du fils d’un maharadja de je ne sais plus quelle dynastie, mais cela importe peu. Pour lui montrer sa reconnaissance, le maharadja reconnaissant, lui donna une de ses filles en mariage. Il la combla, en guise de dot, de quelques-uns des magnifiques joyaux dont il était possesseur.

    Mon grand-père ramena en France la belle Orientale qui fut baptisée, et qui apprit la langue de son nouveau pays. Ces chères cousines par alliance et demoiselles à la peau très blanche qui devait être le signe suprême d’une noblesse bien affirmée, ne l’ont pas accepté tout de suite. Mais la princesse ne céda en rien pour l’élégance, sa distinction, ses manières, son charme et son l’esprit très vif, aux autres comtesses de Brémont.

    De ses dix enfants, un seul survécut qui fut mon père. A sa mort, Étant fille unique, j’ai hérité des précieuses gemmes en même temps que la fortune des de Brémont. Celle-ci, fut à peine diminuée par une gestion quelque peu imprudente dans des placements hasardeux qu'avait fait mon père. Cependant, elle était encore très conséquente. Le comte Stéphan de Rubens, mon époux, se chargea de réduire sa propre fortune qui étaient à cette époque, considérables. Heureusement, je suis une femme futée et très prévoyante. Je n’aime pas, à cause d’un mariage qui se révéla désastreux, être dépouillée de mes biens. Je suis de sang noble. Je n’ai, en aucun cas, un devoir envers mon époux concernant ma propre fortune, mon père étant décédé.

    Stéphan de Rubens :Ton grand-père, avait des biens qui n'étaient guère négligeables en comptant ma dot. Ce que je possédais en totalité ne le regardait aucunement. Je pris soin de ne poins lui révéler la grandeur de mon patrimoine. Il savait que je n'étais pas dépourvue d'argent, bien entendu, mais seule ma dot était entrée en ligne de compte dans cette union. Étant Seule héritière de mon père, je disposais de ce qu'il m'avait légué, comme je l’entendais.

    Ton grand-père n’a jamais eu connaissance de ce je possédais réellement en immobilier et terrains que je louais en fermage et dont, régulièrement, je touchais les loyers de ce que mes terres produisaient, ainsi que les intérêts concernant les terres louées que mon notaire prenait soin d'ajouter à mes avoirs.

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  • Commentaires

    1
    Vendredi 24 Mai 2019 à 10:31

    Bonjour

    oh un secret de famille, non je ne me tenterai pas de lire tout de suite cette suite

    je lirai la page d'apres et decouvrirai ce secret la semaine prochaine, j'espere LOL

     

    bon weekend et avec le soleil de ces jours ci c'est bien agreable, n'est ce pas ?

      • Vendredi 24 Mai 2019 à 11:59

        Bonjour mon cher Philippe,

        Oui, en effet, c'est bien agréable : le soleil brille ;

        mais, paraît t-il, pas pour longtemps dans le Sud-Est :

        on nous annonce, pour le Week-end, du mauvais temps et des averses.

        je crois que je vais aller voter sous la pluie. SNIFF !

        Merci pour ta visite qui me remplie de plaisir. 

        Tu n'est pas au bout de tes surprises au fur et à mesure 

        que tu vas entrer dans le vif du sujet ?

        Je te souhaite un très bon week-end, mon ami !

        Amitié, N. GHIS.

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