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Le mystère de l'étang-aux-ormes. Page -118-
Après sa visite à Emilie, Isabelle se dirigea ses pas vers le presbytère ou elle entra. S'étant assise devant le bureau du prête, elle attendit patiemment qu'il finisse ce qu'il était en train de faire. Lorsqu'il fît son apparition, son visage amaigri, et ses cheveux blanchi par les années, Isabelle en fut très surprise. Ce qu'il avait changé en six ans ! Ne désirant pas que le prêtre remarque sa surprise, elle lui parla de son existence à verte-court, et de ses projets artistiques. Cette dernière année, son oncle, surprit du talent de sa nièce, l’avait envoyée à ses frais, dans une école de beaux-arts pour suivre des cours de peinture et d’art décoratif. Isabelle était revenu avec plusieurs diplômes dans ses bagages, dont celui qui lui permettrait de se faire un nom dans la décoration. Son oncle l’encourageait beaucoup à se diriger dans cette voix, étant donné ses disposition vraiment exceptionnelles.
— C'est très bien ! J’aime beaucoup cela pour vous, dit l'abbé. C'est autant mieux pour vous, que vous aurez la protection de Mlle Adélaïde dans cette existence parisienne.
— Chère Adélie ! Que de bienveillance envers moi ! Oui, sa présence me sera bien précieuse. D’ailleurs, nous n’aurions pu demeurer l’hiver à Monteuroux. A son âge, après le confort dont elle a joui à Verte-court, Adélie souffrirait trop de tout ce qui manque dans notre vieille tour.
— Vous pourriez demander à habiter le Château-neuf ?
Le regard d’Isabelle s’assombrit en pensant à son père si peu communicatif envers elle, et à sa femme qu'elle ne souffrait toujours pas. Le ton qu'elle employa pour répondre au père Verges, démontrait bien qu'elle n'avait nullement changer d'avis envers sa belle-mère, pas plus qu'elle n'avait changé d'opinion concernant son père toujours sous l'emprise de sa marâtre. Isabelle daignât quand même répondre à l'abbé :
— Demander à mon père et à ma belle-mère une faveur ? Je n’en sent pas le besoin ! J’ai pris de bonnes résolutions, monsieur l'abée. Je suis décidée à être correcte et conciliante, quels que soient mes sentiments à l’égard de ma belle-mère. Mais je tiens à conserver ma pleine indépendance et à ne rien lui devoir, pas même une complaisance. Du reste, je ne pourrais me faire une situation si je devais rester à Monteuroux. Je sais que père, sous l’influence de sa femme, veut me marier rapidement, mais ils peut me présenter n’importe quel parti, ce sera toujours non. Je ne tiens pas à me marier pour la bonne raison que je n’accepterais jamais d’être soumise à un homme parce qu’il est un bon parti et que sa fortune aurait largement de quoi à me faire vivre. J'ai de quoi voir venir et n'ai nul besoin d'un chaperon en guise de mari. Je n'appartient à personne qu'à moi-même. Être indépendante est mon souhait. Je me suffis à moi-même. Aucun homme, si fortuné soit-il, ne saurait m’agréer. Si j’accepte d’être fiancée un jour, c’est que je serais éprise de celui que j’aurai moi-même choisi, et que ce jeune homme sera épris de moi. En aucune manière je n’épouserais par intérêt ! Il serait bien improbable que je supporte de céder ma fortune à mon futur mari en guise de dote !
La jeune comtesse savait ce qu’elle voulait. L’abbé comprit qu’au fond, cette fière jeune fille, devenue une belle jeune femme, était restée la même en droiture et force que caractère.
Le prêtre reprit :
— Évidemment. A moins d’être comme Juliette qui, depuis un an, seconde activement son frère dans la propriété familiale.
— Juliette ? S’étonna Isabelle. Elle habite maintenant Aigue-blanche ?
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Tags : Fiction, Historique, Suspense, Mystère, Evènement, Surnaturels, Genre, Sentimental, Roman, fantasy, Intrigues, meurtre, dissimulé, en, accident;
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Commentaires
Bonjour,
avec cette période de fêtes de fin d'année, je n’ai pas trop le temps
pardon de délaisser un peu ton roman joli et passionnant,
je reviendrai en 2021 pour reprendre enfin le cours de ma lecture
Passage du moment
Pour saluer cet instant
De fête de fin 2020
Je viens te souhaiter ce matin
Pour 2021 une Bonne Année
Bonheur, joie mais surtout la santé
Et en ce nouvel an qui va venir
Par vaccin ce mal faire partir
Je vais disparaitre ces quelques jours
Comme je l'ai fait déjà pour Noël
C'est la semaine prochaine
Que je reviendrai, lundi ou mardi
Il y aura deux de mes poésies
Programmées en mon blog domaine
Saint Sylvestre non festif en cette année cruelle
La célébration de l'an neuf qui fera son tour-
Jeudi 31 Décembre 2020 à 16:16
Je te souhaite une très bonne fin d'année mon ami Philippe !
J-M et moi n'avons fêté aucune fête.
Je t'ai dis que mon homme
est sortit de l'hôpital il y a trois semaines.
Il n'est pas très bien remit et il a toujours beaucoup mal à sa hanche,
et à son moignon de la jambe droite côté prothèse qui n'est pas la définitive.
C'est année, nous ne faisons rien.
Nous sommes tranquilles tous deux en amoureux à la maison.
Je te souhaite un très bon début d'année 2021 !
Avec toute mon amitié, Ghis.
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Bonjour,
reste tranquille avec ton epoux
repos et sécurité
rien fait non plus, de mon coté
En ce début de l'an 2021
Je viens exceptionnellement ce vendredi
Sur l'eklablog de mes chers amis
Souhaiter à tous une Bonne Année de mon coin
Je vous offre de tout mon cœur
Joie, Réussite et le plein de Bonheur,
Pour ce nouvel an, surtout garder la santé
Le bon espoir que tout soit enfin apaisé-
Vendredi 1er Janvier 2021 à 11:08
Mon cher Philippe,
Si la providence pouvait t'entendre, mon ami,
Ce que ce serait bien que l'on retrouve un peu une vie normale !
Nous avons fait le nouvel an en amoureux
et nous avons passé la soirée avec Patrick Sébastien.
Je me suis couchée quand même à 2 heure du matin.
Je croie que cet après-midi, je vais faire une sieste...
Gros bisous à toi pour cette nouvelle année.
Avec toute mon amitié de mon petit coin à ton petit coin.
Ghis.
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Le Mystère De l’Étang-Aux-Ormes : Roman
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Le mystère de l'étang-aux-ormes.
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Le pont Mirabeau
Sous le pont Mirabeau,
Coule la Seine et nos amours.
Faut-il qu’il m’en souvienne,
La joie venait toujours après la peine.Vienne la nuit, sonne l’heure,
Les jours s’en vont... je demeure.Les mains dans les mains,
Restons face à face,
Tandis que sous le pont de nos bras, passent,
Passent des éternels regards...
L’onde si lasse.
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure.L’amour s’en va, Comme cette eau courante...
L’amour s’en va,
Comme la vie est lente,
Et comme l’Espérance est violente.Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont... je demeure.Passent les jours et passent les semaines,
Ni temps passé,
Ni les amours reviennent.
Sous le pont Mirabeau coule la seine.Vienne la nuit sonne l’heure,
Les jours s’en vont... je demeure.Guillaume Apollinaire, 1913
♥ Nocturne de Frédérique Chopin ♥
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Droits protégé SACEM
♥ Tout un univers poétique ♥
N.GHIS.
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Créer mon blog
Bonjour
Désolé ces semaines de fêtes je n'ai pas trop de temps
De lire les pages de ton passionnant roman
Je me laisse en mémoire cette page non lue
Et reviendrai après l'an nouveau continuer mes revues
Un petit tour
En ce jour
Pour souhaiter
A Toi, Ta Famille aimée
Et aux Visiteurs d'ici
Un Joyeux Noël sans souci
On se protège, on évite d’être la cible
De ce dangereux virus le plus possible
Je m'absente en ces jours
Et reviendrai la semaine prochaine
Lundi ou mardi je me représenterai sur scène
Ici sur mon blog pour un petit retour
Avant de nouveau partir
Pour l'an neuf fêter
En petit comité
Et de cette arrivée s'affranchir
Mon cher Philippe,
Je te remercie de tout coeur pour tes attentions envers moi.
Je te demande pardon de n'avoir pas répondu à ton dernier commentaire:
Mon époux étant bien malade, je suis beaucoup à son écoute.
L'hôpital me l'a rendu encore très handicapé avec sa prothèse droite
et il a extrêmement mal lorsqu'il la porte.
Sa prothèse définitive ne sera prête que l'année prochaine ver le 4 janvier.
Je te souhaite de très bonnes fêtes, même en petit comité !
Nous, nous ne faisons rien.
Nos petits enfants et ma fille voulaient le faire à la maison,
mais ce n'ai pas possible avec le fauteuil roulant,
le lit médicale dans la salle à manger,
Le stock de médicament sur la table,
et tout ce que je ne t'énumère pas pour pas te faire peur.
C'est des moments à passer qui sont très durs !
Mais la vie de mon homme passe avant tout !
Gros bisous et bonne fête à toi, Philippe !
Amicalement, Ghis.